L'histoire de Tealey
L'histoire de Tealey
Tealy Normandin est la mère remplie de fierté de sa fille, Becky, une personne qui fait partie de Projet 10 depuis très longtemps. Lorsque sa fille a mentionné Projet 10 avec enthousiasme, à l’âge de 15 ans, Tealy était curieuse : « Qu’est-ce que c’est? Qui sont-iels? Qu’est-ce que tu fais, là-bas? »
Becky s’est rapidement fait de nouvelleaux ami·e·s à Projet 10, ce qui comblait Tealey de bonheur : « Je me disais, oh mon dieu, elle a des ami·e·s! Elle appartient à une communauté. Elle a des gens avec qui elle se sent confortable, des personnes parmis lesquelles elle se retrouve et un espace sécuritaire où elle peut aller. » Tealey et sa fille ont découvert Projet 10 pour tout ce que P10 représente : « C’est une famille. C’est des pair·e·s, une famille, des ami·e·s. Simplement des personnes avec qui elle peut être confortable. » Sa fille s’étant « posée des questions toute sa vie concernant son identité », de la voir trouver des ami·e·s et une communauté sur laquelle elle pouvait compter, parmi laquelle est se retrouve et se sent confortable remplissait Tealey de gratitude envers Projet 10.
Projet 10 a permis à sa fille d’acquérir la confiance en elle nécessaire à ce qu’elle prenne en charge comment elle souhaitait se présenter au monde. Tealey se souvient de la première fois qu’elle a vu Becky avec un Mohawk: « C’était une étape importante! » De se présenter de la façon dont elle souhaitait se présenter, et de « se regarder dans le miroir et de ressentir de la fierté par rapport à qui tu es : Projet 10 lui a permis ça! »
Assister au parcours de sa fille a mené Tealey à se questionner concernant ce qui l’empêchait d’accepter complètement sa fille : « J’avais besoin d’accepter, à l’intérieur, que c’était mes attentes, mes rêves, ma vision de ce que le société me présentait comme la petite famille parfaite. » Si tu es un parent qui passe à travers quelque chose de similaire, Tealey veut que tu saches que « ce n’est pas apprendre à connaître ton enfant » dans le sens traditionnel, mais c’est « accepter ton enfant. » Pour entamer ce processus de réflexion et de guérison, Tealey suggère « d’apprendre qui tu es, d’accepter les attentes qui tu as envers toi-même. » Au travers de ce processus avec Becky, Tealey a réalisé, « Bon dieu mais c’est pas à propos de moi, c’est à propos de l’acceptation de ma fille! » my expectations, my dreams, my vision of what society told me was supposed to be that perfect little family". If you are a parent going through a similar journey, Tealey wants you to know that “it’s not about getting to know your child” in the traditional sense, but about “accepting your child.” To begin this journey of self-reflection and healing, Tealey suggests that you “get to know who you are, get to accept your expectations of yourself”. In going through this journey with Becky, Tealey realised: “oh for heaven’s sakes, it’s not about me, it’s about accepting her!".
L’amour que Tealey ressent pour sa fille est plus que tangible: « J’en ai rien à foutre de ce que les gens disent. C’est pas leur vie, c’est ma vie. Et je suis la défenseuse #1 de ma fille. Elle peut voyager d’un bout à l’autre du Canada et trouver des personnes qui l’aiment, elle peut trouver une communauté qui va l’accepter, et elle est généreuse. Ma fille donne d’elle-même avec tout son coeur. C’est ce qui me rend heureuse. » En bout de ligne, ce que Tealey souhaite le plus à ses enfants, c’est le bonheur : « Ce que j’aime de P10 c’est l’amour que ma fille a pour l’organisation… Quand elle va à Projet 10, je sais qu’elle est avec une autre famille, avec des personnes qu’elle aime. Maman est heureuse quand Becky est heureuse. »
Tealy Normandin est la mère remplie de fierté de sa fille, Becky, une personne qui fait partie de Projet 10 depuis très longtemps. Lorsque sa fille a mentionné Projet 10 avec enthousiasme, à l’âge de 15 ans, Tealy était curieuse : « Qu’est-ce que c’est? Qui sont-iels? Qu’est-ce que tu fais, là-bas? »
Becky s’est rapidement fait de nouvelleaux ami·e·s à Projet 10, ce qui comblait Tealey de bonheur : « Je me disais, oh mon dieu, elle a des ami·e·s! Elle appartient à une communauté. Elle a des gens avec qui elle se sent confortable, des personnes parmi lesquelles elle se retrouve et un espace sécuritaire où elle peut aller. » Tealey et sa fille ont découvert Projet 10 pour tout ce que P10 représente : « C’est une famille. C’est des pair·e·s, une famille, des ami·e·s. Simplement des personnes avec qui elle peut être confortable. » Sa fille s’étant « posée des questions toute sa vie concernant son identité », de la voir trouver des ami·e·s et une communauté sur laquelle elle pouvait compter, parmi laquelle est se retrouve et se sent confortable remplissait Tealey de gratitude envers Projet 10.
Projet 10 a permis à sa fille d’acquérir la confiance en elle nécessaire à ce qu’elle prenne en charge comment elle souhaitait se présenter au monde. Tealey se souvient de la première fois qu’elle a vu Becky avec un Mohawk: « C’était une étape importante! » De se présenter de la façon dont elle souhaitait se présenter, et de « se regarder dans le miroir et de ressentir de la fierté par rapport à qui tu es : Projet 10 lui a permis ça! »
Assister au parcours de sa fille a mené Tealey à se questionner concernant ce qui l’empêchait d’accepter complètement sa fille : « J’avais besoin d’accepter, à l’intérieur, que c’était mes attentes, mes rêves, ma vision de ce que le société me présentait comme la petite famille parfaite. » Si tu es un parent qui passe à travers quelque chose de similaire, Tealey veut que tu saches que « ce n’est pas apprendre à connaître ton enfant » dans le sens traditionnel, mais c’est « accepter ton enfant. » Pour entamer ce processus de réflexion et de guérison, Tealey suggère « d’apprendre qui tu es, d’accepter les attentes qui tu as envers toi-même. » Au travers de ce processus avec Becky, Tealey a réalisé, « Bon dieu mais c’est pas à propos de moi, c’est à propos de l’acceptation de ma fille! »
L’amour que Tealey ressent pour sa fille est plus que tangible : « J’en ai rien à foutre de ce que les gens disent. C’est pas leur vie, c’est ma vie. Et je suis la défenseuse #1 de ma fille. Elle peut voyager d’un bout à l’autre du Canada et trouver des personnes qui l’aiment, elle peut trouver une communauté qui va l’accepter, et elle est généreuse. Ma fille donne d’elle-même avec tout son coeur. C’est ce qui me rend heureuse. » En bout de ligne, ce que Tealey souhaite le plus à ses enfants, c’est le bonheur : « Ce que j’aime de P10 c’est l’amour que ma fille a pour l’organisation… Quand elle va à Projet 10, je sais qu’elle est avec une autre famille, avec des personnes qu’elle aime. Maman est heureuse quand Becky est heureuse. »